Titre : | La substitution dans la cité : effets cliniques - effets sociaux - répercussion sur les pratiques |
Auteurs : | GIBIER L. ; Colloque substitution, Lille, novembre 1996 |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | INTERVENTIONS (n° 57) |
Article en page(s) : | pp.19-27 |
Langues: | Français |
Catégories : | TOXICOMANIE ; ADDICTION ; DROGUE ; TRAITEMENT DES ADDICTIONS ; TRAITEMENT DE SUBSTITUTION ; REDUCTION DES RISQUES (ADDICTION) ; ABSTINENCE ; METHADONE ; DEPENDANCE PSYCHOLOGIQUE ; BAS SEUIL D'ACCES |
Mots-clés: | TOXICOMANIE ; ADDICTION ; DROGUE ; TRAITEMENT DES ADDICTIONS ; TRAITEMENT DE SUBSTITUTION ; REDUCTION DES RISQUES (DROGUES) ; ABSTINENCE ; METHADONE ; DEPENDANCE PSYCHOLOGIQUE ; BAS SEUIL D'ACCES ; OBJECTIF DE TRAITEMENT ; HAUTE EXIGENCE ; PROCESSUS THERAPEUTIQUE ; TRAJECTOIRE ; SUBUTEX |
Résumé : | Pour répondre à 4 questions concernant la substitution (pour qui? comment? avec quels objectifs? avec quels moyens?) , l'auteur propose de faire un double détour par la clinique du toxicomane aux opiacés : c'est une clinique évolutive dans le temps, c'est une clinique éclectique car multithéorique.|Après avoir décrit les différentes phases de la trajectoire du toxicomane, il différencie deux objectifs différents de la substitution : il n'existe pas une bonne (haut seuil) et une mauvaise (bas seuil) substitution, Ces deux substitutions ne s'opposent pas, elles se complètent.|Car il existe deux types de prise en charge : celle visant la réduction des dommages et celle visant l'intentionnalité de l'abstinence. La substitution n'est pas le traitement, elle permet le traitement. C'est une substitution pour construire autour, mais il faut les moyens pour cela, sinon c'est un processus de chronicisation, un amortisseur social. |
Note de contenu : | INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
Cote thématique : | NADJA.REV.17 |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |