|
Titre :
|
Place de la notion d'échec
|
|
Auteurs :
|
VEDEILHIE C. ;
Séminaire de T3E, Bologne, 14-15 décembre 1995
|
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
|
Dans :
|
INTERVENTIONS (n° 56)
|
|
Article en page(s) :
|
pp.23-29
|
|
Note générale :
|
biblio.
|
|
Langues:
|
Français
|
|
Catégories :
|
TOXICOMANIE
;
TROUBLE DU DEVELOPPEMENT
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
TRAITEMENT DES ADDICTIONS
;
PSYCHANALYSE
;
RELATION MERE-ENFANT
;
CARENCE AFFECTIVE
;
PSYCHOTHERAPIE
;
CADRE THERAPEUTIQUE
;
TRANSFERT
;
CONTRE TRANSFERT
;
RELATION THERAPEUTIQUE
|
|
Mots-clés:
|
TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
TRAITEMENT DES ADDICTIONS
;
PSYCHANALYSE
;
RELATION MERE-ENFANT
;
CARENCE AFFECTIVE
;
PSYCHOTHERAPIE
;
CADRE THERAPEUTIQUE
;
TRANSFERT
;
CONTRE TRANSFERT
;
RELATION THERAPEUTIQUE
|
|
Résumé :
|
L'analyse de l'échec du cadre d'humanisation des personnes devenues toxicomanes permet de réfléchir sur le processus mis en place. Les dysfonctionnements du processus et du cadre d'humanisation s'inscrivent dans les premières relations mère-enfant : des alternances d'éloignement et de rapproché conduisent l'enfant à un vécu d'insécurité fondamentale.|L'auteur analyse les pathologies qui sont engendrées par les défaillances de cette fonction de fiabilité de la mère, ainsi que celles occasionnées par la confusion des fonctions et des modèles identificatoires.|L'importance sur le plan thérapeutique est de définir une fonction de contenance et de continuité. Le cadre devient alors un des objets principaux de soin. Mais ce cadre dans sa fonction ne doit pas être totalitaire, il ne serait alors qu'une réponse en miroir du produit.|L'institution et le thérapeute, par sa propre permanence qui fait histoire, peuvent permettre au toxicomane d'inclure sa propre histoire. La mémoire institutionnelle est fondamentale.
|
|
Note de contenu :
|
INTERVENANT, SCIENTIFIQUE
|
|
Cote thématique :
|
NADJA.REV.12
|
