| Titre : | Le sport de haut niveau : une emprise compulsive sur le corps (1998) |
| Auteurs : | BERGER M. |
| Type de document : | Article : texte imprimé |
| Dans : | CAHIERS DE PSYCHOLOGIE CLINIQUE (n° 10, Printemps 98) |
| Article en page(s) : | pp. 117-135 |
| Note générale : | biblio. |
| Langues: | Français |
| Catégories : | PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; PSYCHANALYSE ; RELATION DE POUVOIR ; SPORT ; LIMITE ; SOUFFRANCE ; PSYCHOPATHOLOGIE ; AGRESSIVITE ; RELATION PARENT-ENFANT ; CORPS ; COMPORTEMENT A RISQUE ; DEPRESSION ; RELATION MERE-ENFANT ; TRAUMATISME PSYCHOLOGIQUE |
| Mots-clés: | PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; PSYCHANALYSE ; RELATION DE POUVOIR ; SPORT ; LIMITE ; SOUFFRANCE ; PSYCHOPATHOLOGIE ; AGRESSIVITE ; RELATION PARENT-ENFANT ; CORPS ; COMPORTEMENT A RISQUE ; DEPRESSION ; RELATION MERE-ENFANT ; TRAUMATISME PSYCHOLOGIQUE ; MASOCHISME ; RELATION D'OBJET |
| Résumé : | La pratique du sport de haut niveau peut être comprise comme une forme compulsive d'emprise d'un sujet sur son corps. Les raisons de ce comportement sont triples.|1. Le sujet, dans un processus de retournement, se remet dans les situations traumatiques qu'il a subies à la période préverbale de sa vie (manipulations corporelles inadéquates, forçage). La compétition est alors l'équivalent d'un symptôme psychosomatique, où il se remet dans une situation de danger vital qu'il a déjà vécue. 2. Il a de la difficulté à gérer son agressivité et a besoin de l'expulser sur autrui. 3. Il est pris dans une problématique narcissique familiale, ce qui lui fait courir le risque d'une dépression importante en cas de victoire. |
| Note de contenu : | INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
| Cote thématique : | NADJA.REV.23 |
Exemplaires (1)
| Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
|---|---|---|---|---|---|
| NAD000169 | REV CAH PSY CLINIQUE | Bulletin | NADJA | Périodiques | Consultation sur place Exclu du prêt |
