Titre :
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Mésusage de substances psychoactives en milieu professionnel. V - Dépistage biologique. 2 - Indications et limites du dépistage biologique. Conduites à tenir en fonction des résultats du repérage (y compris pour la consommation de médicaments psychotropes) (2013)
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Auteurs :
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HACHE P. ;
BESSIERES P. ;
ORIZET C. ;
VASSEUR A. ;
PLAYOUST D.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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ALCOOLOGIE ET ADDICTOLOGIE (Vol. 35 n° 4, DECEMBRE 2013)
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Article en page(s) :
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pp. 355-374
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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ADDICTION
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TOXICOMANIE
;
DROGUE
;
ALCOOL
;
LEGISLATION
;
FRANCE
;
MEDECIN DU TRAVAIL
;
MILIEU PROFESSIONNEL
;
DEPISTAGE
;
CONSOMMATION DE DROGUE
;
CONSOMMATION D'ALCOOL
;
LIMITE
;
PRODUIT PSYCHOTROPE
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Mots-clés:
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ADDICTION
;
TOXICOMANIE
;
DROGUE
;
ALCOOL
;
LEGISLATION
;
FRANCE
;
MEDECIN DU TRAVAIL
;
MILIEU PROFESSIONNEL
;
DEPISTAGE
;
USAGE DE DROGUES
;
CONSOMMATION D'ALCOOL
;
LIMITE
;
PRODUIT PSYCHOTROPE
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Résumé :
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Dans cet article sont exposées les indications et les limites du dépistage biologique de la consommation de substances psychoactives. En France, hormis le cas des professions soumises à des conditions d'aptitude, les indications doivent respecter des principes et des règles précises. Il est aussi démontré que seul le médecin du travail peut proposer et prescrire un dépistage biologique, dans le strict respect du consentement éclairé et du secret médical. Le dépistage aléatoire ou systématique est à exclure : la recherche doit répondre à une indication clinique. En dehors du cas de l'alcool, le prélèvement urinaire est le plus pertinent car la fiabilité des tests salivaires reste à améliorer. Les conduites à tenir en fonction des résultats sont développées en détail.
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Note de contenu :
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INTERVENANT, SCIENTIFIQUE
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Cote thématique :
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NADJA.REV.14.2
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