Titre :
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L’embarras face aux mouvements psychotiques en institutions éducatives (2015)
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Auteurs :
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MARCHAND F.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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Revue de l'enfance et de l'adolescence (n° 92, Décembre 2015)
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Article en page(s) :
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pp. 43-54
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Note générale :
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biblio.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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PROTECTION DE LA JEUNESSE
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PROTECTION INFANTILE
;
EDUCATION SPECIALISEE
;
PUBERTE
;
CRISE D'ADOLESCENCE
;
ADOLESCENT EN DIFFICULTE
;
PSYCHOSE
;
PRISE EN CHARGE
;
EDUCATEUR
;
HUMOUR
;
RELATION PROFESSIONNELLE
;
RELATION USAGER-INTERVENANT
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Mots-clés:
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PROMOTION DE LA SANTE
;
INTERVENANT
;
EDUCATION AFFECTIVE ET SEXUELLE
;
JEUNE
;
ADOLESCENT
;
ECOLE SECONDAIRE
;
CONCERTATION
;
BELGIQUE
;
BRUXELLES-CAPITALE
;
INTERSUBJECTIVITE
;
DELIRE
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Résumé :
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Aux heures sombres où notre société polémique sur la question : «Pouvons-nous rire de tout?», la sphère médicosociale s’embarrasse des questions diagnostiques de psychose, bute quant à la prise en compte des sujets à risque psychotique ou dont la dangerosité ressentie ou supposée interroge les limites de la prise en charge éducative des adolescents. Ce malaise nosographique se dit de manière défensive par le recours à l’humour entre collègues , un humour qui relativise, un humour qui dédramatise. Max Jacob disait de l’humour qu’il ne blessait pas et qu’il amusait. Nous interrogeons ici l’impact d’un diagnostic non établi mais subjectivé à partir de manifestations comportementales objectives ou tout du moins observées sur la construction du sujet. Le diagnostic de psychose peut-il blesser? Est-il nécessaire à la prise en charge éducative des adolescents?
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Note de contenu :
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SCIENTIFIQUE, INTERVENANT
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