Titre : | D'une perte de vitesse de la fonction des rituels familiaux et ses conséquences dans l'irreprésentabilité du divorce : crise identitaire familiale et thérapie palliative (2010) |
Auteurs : | BULLENS Q. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | THERAPIE FAMILIALE (Vol. 31 n° 2) |
Article en page(s) : | pp. 151-166 |
Note générale : | biblio. |
Langues: | Français |
Catégories : | FAMILLE ; REPRESENTATION SOCIALE ; IDENTITE SOCIALE ; CRISE D'IDENTITE ; RITE ; MARIAGE ; DIVORCE ; SEPARATION ; NORME SOCIALE ; ASPECT PSYCHOSOCIAL ; IMPACT PSYCHOLOGIQUE ; ENFANT ; ENFANCE ; ROLE DU PSYCHOLOGUE |
Mots-clés: | CPAS ; AIDE SOCIALE ; REVENU MINIMUM ; DROITS DE L'USAGER ; REGLEMENTATION ; FISCALITE ; INSERTION PROFESSIONNELLE ; FORMATION PROFESSIONNELLE ; ALLOCATION SOCIALE |
Résumé : | Parmi les nombreux changements qu'a connu la notion de famille au cours du temps, nous nous intéressons ici à la normalisation/banalisation du divorce (ou séparation). Nous postulons que, dans un contexte où ses modifications sont de moins en moins ritualisées et donc de moins en moins représentables, la famille (dont nous différencierons le caractère achronique du caractère diachronique) n'a pas accès à une représentabilité/acceptabilité sociale de sa ou ses séparations. Selon nous, elle souffre alors d'une crise identitaire dont l'enfant, parfois en plus de ses souffrances individuelles, peut être le symptôme. Reste alors aux thérapeutes à pallier ce manque de représentabilité des séparations, tout en restant lucides quant aux limites de leurs interventions. |
Note de contenu : | SCIENTIFIQUE |
Exemplaires
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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