Titre : | LE CER, POUR QUOI FAIRE ? (2005) |
Auteurs : | BLANCHARD G. ; Rémy Puyuelo ; Denis Turrel |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Empan (n° 59, 2005/3) |
Article en page(s) : | pp. 71-79 |
Langues: | Français |
Catégories : | PROTECTION DE LA JEUNESSE ; ADOLESCENT ; PLACEMENT EN INSTITUTION ; INSTITUTION PUBLIQUE DE PROTECTION DE LA JEUNESSE ; POLITIQUE ; SECURITE ; REPRESSION ; IDEOLOGIE ; REPRESENTATION SOCIALE ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; DELINQUANCE ; EDUCATION SPECIALISEE ; ROLE DE L'EDUCATEUR |
Mots-clés: | SERVICE PUBLIC ; VIOLENCE ; USAGER ; RELATION ADMINISTRATION-USAGER ; VIOLENCE INSTITUTIONNELLE ; CONJONCTURE ECONOMIQUE ET SOCIALE ; PRECARITE ; INSECURITE ; INDIVIDUALISME ; MANAGEMENT ; INSTITUTION ; ETABLISSEMENT SOCIAL ; CONDITION DE TRAVAIL ; TRAVAILLEUR SOCIAL ; IDENTITE SOCIALE ; RELATION USAGER-INTERVENANT |
Résumé : | L'auteur se demande si, dans le contexte ambigu de la création des CER, ceux-ci n'ont pas été suspectés d'être les instruments actifs d'une supposée détermination de l'autorité publique à vouloir réduire, voire nier, la dimension éducative en la soumettant au primat d'une idéologie de la répression.|Nous avons donc toujours eu la conviction, précise-t-il, et quelques documents officiels de l'époque tel le rapport Cirese de 1997 ont clairement étayé celle-ci, que nos établissements étaient avant tout des lieux d'expérimentation éducative.|Le CER devenu lieu de formation et d'information, pourrait ainsi se concevoir comme une médication anti-sclérose pour l'Institution éducative en général.|Reste qu'aujourd'hui, à l'heure où le dispositif CER est clos, il nous semble que l'on soit en risque d'oublier ce qui a permis à ces établissements de réussir leur mission de parvenir à faire un bout de chemin avec ces adolescents. |
Note de contenu : | INTERVENANT |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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CE998003 | REV EMPAN | Bulletin | NADJA | Périodiques | En ligne Disponible |