Titre : | Pourquoi les adolescents goûtent-ils les cocktails codéinés ? |
Auteurs : | Nau, J.Y, Auteur |
Type de document : | texte imprimé |
Mention d'édition : | Juillet |
Editeur : | Revue Médicale Suisse, 2017 |
Langues: | Français |
Catégories : | ADDICTION ; USAGE DETOURNE ; CONSOMMATION DE MEDICAMENTS ; MEDICAMENT PSYCHOTROPE ; USAGE PROBLEMATIQUE ; ABUS ; SUISSE ; JEUNE ADULTE ; CODEINE ; ALCOOLEMIE ; COCA |
Résumé : |
Le détournement de l’usage thérapeutique de certains médicaments à base d’opiacés, comme la codéine ou le tramadol. Des dérivés morphiniques avec un effet antalgique moins important que la morphine. « Paradoxalement, cela leur donne un pouvoir addictif plus élevé, explique Guillaume Airagnes. Comme les effets psychoactifs sont moins intenses, cela induit une consommation compulsive plus importante. » Les mésusages de ces médicaments sont connus depuis une dizaine d’années et restent sous haute surveillance, bien qu’ils ne concernent encore qu’une part « très réduite des usagers » tempère encore le directeur de l’OFDT.
Dans son service, Amine Benyamina voit également passer de nouveaux types de mésusages médicamenteux : « De façon plus marginale mais tout aussi problématique, il y a l’utilisation de la prégabaline ou LYRICA. C’est un produit qui est destiné à traiter les douleurs neuropathiques ou les syndromes de stress post-traumatique. » Cet antalgique, qui n’est cette fois pas un dérivé morphinique, possède lui aussi un fort potentiel addictif, poussant les patients à poursuivre leur consommation au-delà des délais de prescription. |
Public cible : | Intervenant |
Catalogueur : | Nadja |
En ligne : | https://www.revmed.ch/view/436498/3745920/RMS_570_1394.pdf |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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NAD001353 | NADJA.WEB.ART.06.NAU.P | Article | NADJA | Ressources électroniques | En ligne Disponible |