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Résumé :
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Si tout est RdR, rien ne l’est en particulier. Où commence la RdR, où finit-elle ? On peut, au moins dans un premier temps, exclure ce qui a trait au sevrage. Non que la RdR soit hostile au sevrage en tant que tel ; mais elle l’est aux politiques dans lesquelles le sevrage est l’unique offre de soins ou, dans une version atténuée, la première offre de soins. Autre question : les TSO (traitements de substitution aux opiacés) relèvent-ils du soin ou de la RdR ? Mais surgit alors une autre question : est-ce que la distinction entre RdR et soin est pertinente ou doit-on voir les choses autrement ? Il faut, pour sortir de ces apories, être attentif à la double nature de la RdR, à la fois doctrine et état d’esprit.
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