Titre :
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L'impact des traitements de substitution sur les pratiques d'injection des usagers de drogues par voie injectable infectés par le VIH
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in :
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Auteurs :
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GUFFENS J.M. ;
4° colloque international Toxicomanies-Hépatites-Sida, THS4
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Type de document :
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texte imprimé
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Editeur :
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Nice : France Europe Editions Livres, 1999
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ISBN/ISSN/EAN :
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978-2-913197-08-4
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Format :
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pp. 181-184 / tab. / 24 x16 cm
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Langues:
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Français
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Catégories :
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TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
HEROINE
;
INJECTION
;
REDUCTION DES RISQUES (ADDICTION)
;
METHADONE
;
STATISTIQUE
;
SIDA
;
VIH
;
ANALYSE DES DONNEES
;
COCAINE
;
PREVENTION
;
TRAITEMENT DE SUBSTITUTION
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Mots-clés:
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TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
HEROINE
;
INJECTION
;
REDUCTION DES RISQUES (DROGUES)
;
METHADONE
;
STATISTIQUE
;
SIDA
;
VIH
;
ANALYSE DES DONNEES
;
COCAINE
;
PREVENTION
;
ENQUETE
;
MODE DE CONSOMMATION
;
PARTAGE DE SERINGUE
;
TRAITEMENT DE SUBSTITUTION
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Résumé :
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Les traitements de substitution ont été récemment introduits en France (1995-1996) dans lecadre des politiques de Réduction Des Risques de transmission VIH parmi les usagers de droguespar voie injectable. L'impact des traitements de substitution est étudié dans les données d'inclu-sion (oct 95/déc 97) d'une cohorte de patients usagers ou ex-usagers de drogues injectablesinfectés par le VIH (MANIF 2000). Parmi les 429 patients, 48.2% sont d'ex-usagers de droguesinjectables, 20.3% sont usagers de drogues injectables actifs non substitués, et 31.5% sont substi-tués. Une majorité parmi eux (73.3%) rapportent pourtant avoir injecté au moins une fois durantles six derniers mois. Parmi les 186 patients actifs d'injection, les substitués sont plus nombreuxà injecter de la cocaïne (42.4%) et de la buprénorphine ou de la méthadone (21.3%) que ceux quine bénéficient pas d'un tel traitement (respectivement 27.6% et 2.4%) , d'autre part 23.6% décla-rent avoir partagé au moins une fois leur seringue durant les six derniers mois. Parmi les patientsles plus jeunes (
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Note de contenu :
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INTERVENANT
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