Titre : | Pourquoi est-il si difficile de penser le soin des jeunes extrêmement violents? (2001) |
Auteurs : | BERGER M. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | CAHIERS DE PSYCHOLOGIE CLINIQUE (n° 17, Automne 2001) |
Article en page(s) : | pp. 215-229 |
Note générale : | biblio. |
Langues: | Français |
Catégories : | PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; VIOLENCE ; TROUBLE DU COMPORTEMENT ; PREADOLESCENCE ; PREADOLESCENT ; ADOLESCENT ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; VICTIME ; PSYCHOPATHOLOGIE ; INTERVENTION ADAPTEE ; ISOLEMENT THERAPEUTIQUE ; CENTRE DE READAPTATION ; AGRESSIVITE ; PSYCHOTHERAPIE ; OBJECTIF DE TRAITEMENT ; TRANSFERT ; DENI |
Mots-clés: | PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; VIOLENCE ; TROUBLE DU COMPORTEMENT ; PREADOLESCENCE ; PREADOLESCENT ; ADOLESCENT ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; VICTIME ; PSYCHOPATHOLOGIE ; INTERVENTION ADAPTEE ; ISOLEMENT THERAPEUTIQUE ; CENTRE DE READAPTATION ; AGRESSIVITE ; PSYCHOTHERAPIE ; OBJECTIF DE TRAITEMENT ; TRANSFERT ; CONTRE TRANSFERT ; MINEUR ; DENI ; AGRESSEUR |
Résumé : | Face à l'augmentation des actes de violence individuelle chez les pré-adolescents, une réponse physique thérapeutique contenante est souvent nécessaire. Mais on constate qu'elle est rarement utilisée et comprise malgré les bons résultats obtenus si elle s'accompagne d'un abord psychothérapique. Cet article décrit les difficultés qui empêchent les soignants de prendre en charge de manière adéquate ces sujets dangereux : difficulté d'identification a la victime, peur physique, peur de notre propre violence, incapacité d'accepter l'inefficacité de la parole seule, complexité déprimante des situations. Le résultat en est souvent l'évitement du problème, des raisonnements simplistes, ou le déni de la violence. |
Note de contenu : | INTERVENANT, SCIENTIFIQUE |
Cote thématique : | NADJA.REV.23 |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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NAD000176 | REV CAH PSY CLINIQUE | Bulletin | NADJA | Périodiques | Consultation sur place Exclu du prêt |