Titre :
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Consultation diététique. Intérêt en médecine ambulatoire pour le repérage de la consommation excessive d’alcool (2009)
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Auteurs :
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CHUARD C. ;
MISEREZ V. ;
GACHE P. ;
KRUSEMAN M.
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Type de document :
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Article : texte imprimé
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Dans :
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ALCOOLOGIE ET ADDICTOLOGIE (Vol. 31 n° 4, DECEMBRE 2009)
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Article en page(s) :
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pp. 313-318
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Note générale :
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ann., biblio.
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Langues:
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Français
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Catégories :
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TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
ALCOOL
;
CONSOMMATION D'ALCOOL
;
ABUS D'ALCOOL
;
PREVENTION
;
DEPISTAGE
;
EVALUATION
;
MILIEU HOSPITALIER
;
DIETETICIEN
;
COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
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Mots-clés:
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TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
ALCOOL
;
CONSOMMATION D'ALCOOL
;
ABUS D'ALCOOL
;
PREVENTION
;
DEPISTAGE
;
EVALUATION
;
MILIEU HOSPITALIER
;
DIETETICIEN
;
COMPORTEMENT ALIMENTAIRE
;
QUESTIONNAIRE
;
AUDIT
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Résumé :
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En l’absence d’un repérage systématique, la consommation excessive d’alcool peut entraver la prise en charge médicale et nutritionnelle. L’objectif de notre étude était d’évaluer l’efficacité d’un repérage systématique de cette consommation excessive par la diététicienne en consultation ambulatoire dans un service de médecine générale d’un hôpital universitaire. Durant 16 semaines, la consommation d’alcool a été évaluée en consultation diététique par anamnèse alimentaire traditionnelle et par le questionnaire AUDIT (Alcohol use disorders identification test). Les données alcoologiques du dossier médical ont été répertoriées. Les résultats ont été comparés avec le statut alcoologique (AUDIT et anamnèse alimentaire) et, en cas de discordance, par l’évaluation d’un expert. Sur 103 patients éligibles, 74 (72 %) ont été inclus. L’échantillon était multiethnique (90 % d’étrangers) et majoritairement féminin. La consommation excessive d’alcool (10 %) était inférieure aux prévalences suisse et française. Le repérage de la consommation excessive d’alcool par anamnèse alimentaire concordait à 90 % avec le statut alcoologique (sensibilité : 83 % , spécificité : 100 %), et l’AUDIT à 78 % (sensibilité : 100 % , spécificité : 95 %). La concordance avec le dossier médical était de 6 %. La diététicienne a correctement évalué la consommation d’alcool des patients et a repéré des consommations à risque non détectées par le milieu de soin.
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Note de contenu :
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INTERVENANT, SCIENTIFIQUE
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Cote thématique :
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NADJA.REV.A.17
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