Titre :
|
Médicalisation, assuétude, consommation. Ne nous trompons pas de débat… et de combat (2011)
|
Auteurs :
|
ROELANDT M.
|
Type de document :
|
Article : texte imprimé
|
Dans :
|
Drogues, santé, prévention (anciennement Les cahiers de Prospective Jeunesse) (n° 59, Eté 2011)
|
Article en page(s) :
|
pp. 18-22
|
Langues:
|
Français
|
Catégories :
|
TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
REDUCTION DES RISQUES (ADDICTION)
;
MEDICALISATION
|
Mots-clés:
|
TOXICOMANIE
;
ADDICTION
;
DROGUE
;
REDUCTION DES RISQUES (DROGUES)
;
MEDICALISATION
|
Résumé :
|
Pour la psychiatre et militante Micheline Roelandt, bien qu’il soit nécessaire de lutter contre les tendances expansives du pouvoir médical, il convient aussi d’avoir à l’esprit que l’objet du danger se situe avant tout au niveau du|mécanisme social de délégation de ce pouvoir. Ce n’est pas tant le médical qu’il faut incriminer que la demande sociale de médicalisation derrière laquelle on retrouve généralement la volonté de traquer et faire plier les comportements que la majorité qualifie de déviants. En d’autres termes, la médicalisation a tout son sens, dès lors qu’elle ne se développe pas sur base d’une confusion entre assuétude et consommation.
|
Note de contenu :
|
INTERVENANT, TOUT PUBLIC
|
Cote thématique :
|
NADJA.REV.17
|