Résumé :
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"Le but de l'atelier était de réfléchir sur les difficultés et problèmes spécifiques d'accès aux soins pour des populations marginalisées, que ce soit de façon visible (zonards, toxicomanes), insidieuse (analphabétisme, quart-monde), ou par une pauvreté toute ""banale"" (difficultés financières, chômage).|Avons-nous une médecine et une santé à deux vitesses ? Ces difficultés d'accès existent-elles ? De quelle nature sont-elles ? Comment sont-elles ressenties et vécues par ces milieux concernés ?|La question s'adressait aussi aux professionnels de la santé, médecins en particulier : ont-ils, eux, des problèmes spécifiques avec ces patients ? Sont-ils prêts à envisager et développer des formes de collaboration plus étroites avec les professionnels et les intervenants du monde social ?|Reconnaître et préciser, de part et d'autre, ces difficultés d'accès et de communication devrait permettre de les dépasser et d'enrichir sa pratique professionnelle, en particulier par une approche multidisciplinaire."
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