Titre : | Alcool et médecine générale : Recommandations cliniques pour le repérage précoce et les interventions brèves |
Auteurs : | Peter Anderson, Auteur ; Antoni Gual, Auteur ; Joan Colom, Auteur ; INCa (France), Traducteur |
Type de document : | document électronique |
Editeur : | Saint-Denis : Inpes, 2008 |
Format : | 141 p. / graph. ; tab. |
Langues: | Français |
Langues originales: | Anglais |
Catégories : | ALCOOL ; CONSOMMATION D'ALCOOL ; MEDECINE GENERALE ; INTERVENTION PRECOCE ; METHODOLOGIE DE LA RECHERCHE ; SANTE ; INTERVENTION ; COUT DES SOINS ; personnel de santé ; PROGRAMME DE SANTE ; EVALUATION DE PROGRAMME ; PATIENT |
Résumé : |
L’Union européenne est la région du monde où les pourcentages de consommateurs d’alcool et la consommation d’alcool par habitant sont les plus élevés. L’alcool est le troisième facteur de risque le plus important -après le tabagisme et l’hypertension et devant l’hypercholestérolémie et le surpoids- entraînant des pathologies et des décès prématurés. En plus d’entraîner une dépendance et d’être la cause d’une soixantaine de pathologies et de traumatismes, l’alcool est responsable de dommages sociaux, mentaux et affectifs très répandus (infractions à la loi et violences familiales comprises) qui induisent des coûts très élevés pour la société. La consommation d’alcool peut être préjudiciable pour le consommateur lui-même mais aussi pour : l’enfant à naître ou déjà né, les membres de la famille, les victimes de délits, de violence et d’accidents de la route dus à l’alcool au volant ou autres accidents, dont ceux du travail.
Les médecins généralistes ont la responsabilité de repérer et de prendre en charge les patients dont la consommation d’alcool est excessive, c’est-à-dire à risque ou nocive. En repérant ces patients et en pratiquant une intervention dite « brève », ils ont l’opportunité de les informer des risques liés à leur consommation d’alcool. Les informations qui concernent le niveau et la fréquence de consommation d’alcool d’un patient doivent alerter le professionnel de santé sur la nécessité de conseiller un patient, si sa consommation d’alcool est susceptible d’avoir des effets délétères sur son état de santé, sur sa prise de médicaments ou d’autres aspects de son traitement. L’importance cruciale de ces programmes de repérage précoce et d’interventions brèves tient au fait que les buveurs non dépendants ont plus de facilité à réduire ou à arrêter leur consommation d’alcool avec une aide et un effort appropriés que les buveurs déjà dépendants. Cependant, les praticiens en soins de santé primaires éprouvent souvent des difficultés à dépister et conseiller les patients lorsqu’il s’agit de consommation d’alcool. Parmi les raisons les plus souvent citées se trouvent le manque de temps, une formation inappropriée, une inquiétude vis-à-vis des patients réticents, l’incompatibilité apparente des interventions brèves concernant l’alcool avec les soins de santé primaires et la conviction que les personnes alcoolodépendantes ne sont pas réceptives à ces interventions. |
Note de contenu : | biblio. |
Public cible : | Intervenant |
Catalogueur : | Nadja |
En ligne : | https://www.google.com/url?q=http://inpes.santepubliquefrance.fr/CFESBases/catalogue/pdf/1146.pdf&sa=U&ved=0ahUKEwjO3dLmuePXAhXI6KQKHWfMCWYQFggEMAA&client=internal-uds-cse&cx=014345540446191915172:yctyxts9e9w&usg=AOvVaw3B4aHUj8VAdey6xBgZGYul |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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N6010452 | NADJA.WEB.A.17.AND.A | Rapport de recherche | NADJA | Ressources électroniques | sur demande Disponible |