Titre : | La matérialité de la surveillance électronique (2013) |
Auteurs : | RAZAC O. ; Dan Kaminski ; DEVRESSE M.S. ; DE BIOLLEY I. ; JONCKHEERE A. ; RENARD B. |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Déviance et société (Vol. 37 n° 3, septembre) |
Article en page(s) : | pp. 389-403 |
Note générale : | biblio. |
Langues: | Français |
Catégories : | DROIT PENAL ; JUSTICE ; PEINE JUDICIAIRE ; TECHNOLOGIE ; INNOVATION TECHNOLOGIQUE ; DELINQUANT ; CONTROLE ; PROBATION ; REPRESENTATION DU CORPS ; FRANCE |
Mots-clés: | PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; DELINQUANCE ; ADOLESCENT EN DIFFICULTE ; DELINQUANT ; RELATION PARENT-ADOLESCENT ; RELATION MERE-FILS ; INTERDIT ; AUTORITE PARENTALE ; REPRESENTATION ; PERCEPTION ; MERE ; RECHERCHE ; ANALYSE COMPARATIVE ; ADOLESCENT ; QUESTIONNAIRE ; ALTERNATIVE A LA PRISON |
Résumé : | La surveillance électronique est souvent pensée en termes de dématérialisation, de virtualisation de l’enfermement. Mais cette approche laisse en suspens le problème de savoir ce qu’est une contrainte physique immatérielle. À l’inverse, et paradoxalement, le placement sous surveillance électronique est volontiers décrit selon un registre matériel et carcéral : comme «couvre-feu» ou «prison à domicile». Mais cela recouvre la spécificité du fonctionnement d’une surveillance à distance. Il s’agit donc de partir de l’expérience des «placés» pour réussir à saisir le système complexe qui produit effectivement cette contrainte. Or, la surveillance électronique, même largement «virtualisée», s’appuie toujours sur la chair, sur le corps, sur l’environnement. Par-là même, elle réactive d’une manière spécifique, plus qu’elle ne dépasse, le vieux paradigme carcéral. |
Note de contenu : | INTERVENANT |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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CE996521 | REV DEV SOCIETE | Bulletin | NADJA | Périodiques | En ligne Disponible |