Résumé :
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"Pourquoi aujourd'hui tant de jeunes parents semblent dans l'incapacité de dire ""non"" à leurs enfants et pourquoi sont-ils si malheureux quand, d'aventure, il y parviennent ? [...]|Dire ""non"" à un enfant, s'il n'y a pas une situation impliquant un risque majeur pour sa santé, s'apparente à un acte d'autoritarisme, gratuit au minimum, voire éventuellement à une manifestation de sadisme parental. Les parents interrogent divers spécialistes et ouvrages pour s'informer et savoir si on peut encore dire ""non"" à un enfant aujourd'hui ? Mais au final, le ""non"" parental reste toujours aussi difficile à prononcer. En revance, le cher bambin ne semble avoir aucune réticence, au contraire, pour dire ""non"" aussi bien par la parole que par le comportement, [...] mettant le parent qui voudrait maintenir son refus dans une perplexité aussi totale qu'impuissante."
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