Titre : | Comment et à qui, mais surtout pourquoi et quoi signaler ? (2006) |
Auteurs : | DUQUESNE J.L. ; Paule Amiel ; Rémy Puyuelo |
Type de document : | Article : texte imprimé |
Dans : | Empan (n° 62, 2006/2) |
Article en page(s) : | pp. 76-83 |
Catégories : | MALTRAITANCE ; VIOLENCE FAMILIALE ; ENFANT ; PROTECTION DE LA JEUNESSE ; LEGISLATION ; ETHIQUE MEDICALE ; FRANCE ; PRISE EN CHARGE ; PARENT |
Mots-clés: | HISTOIRE DE VIE ; SOCIOLOGIE ; PSYCHOLOGIE SOCIALE ; RECHERCHE CLINIQUE ; METHODE ; THEORIE ; EPISTEMOLOGIE ; INTERVENTION ; METHODOLOGIE ; THERAPEUTIQUE ; CADRE THERAPEUTIQUE ; TRAVAIL SOCIAL ; EMPOWERMENT ; IDENTITE ; IDENTITE COLLECTIVE ; THEATRE ; OUTIL ; SERVICE PUBLIC ; ECRITURE ; INDIVIDUALISME ; GROUPE DE PAROLE ; ALCOOLISME ; ANIMATION ; ORIENTATION PROFESSIONNELLE ; PSYCHOLOGIE CLINIQUE ; PSYCHOTHERAPIE ; SIGNALEMENT ; PRODEDURE PENALE |
Résumé : | Le souci de protection de l'enfant est clair dans la loi actuelle qui établit un délit spécifique de non-signalement. Cependant, ce qui nous est évident pour la maltraitance sexuelle se trouve compliqué pour la maltraitance physique parce que cela nous renvoie à notre propre violence, bien qu'elle reste plus généralement interne. Notre relative identification à ce parent que nous signalons, et qui est plus souvent démuni que sadique, ne doit pas nous faire perdre de vue notre identification à l'enfant souffrant de cette maltraitance. Cependant, ce parent a aussi une part« enfant souffrant », dont la violence recèle une composante d'appel à l'aide. Un signalement peut ainsi devenir une mise en aide, une prise en compte de la difficulté et un levier dans un travail parfois riche , des exemples cliniques le soulignent. |
Note de contenu : | SCIENTIFIQUE, INTERVENANT |
Exemplaires (1)
Code-barres | Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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CE997588 | REV EMPAN | Bulletin | NADJA | Périodiques | En ligne Disponible |