Titre :
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Risk and protective factors for (internet) gaming disorder: A meta-analysis of pre-COVID studies
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Titre original:
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Facteurs de risque et de protection pour les troubles du jeu (sur Internet) : Une méta-analyse d'études pré-COVID
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Auteurs :
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Ivan Ropovik, Auteur ;
Marcel Martončik, Auteur ;
Peter Babinčák, Auteur ;
Gabriel Baník, Auteur ;
Lenka Vargova, Auteur ;
Matúš Adamkovič, Auteur
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Type de document :
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texte imprimé
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Mention d'édition :
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Décembre
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Editeur :
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Elsevier, 2022
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Collection :
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Addictive behaviors, num. 139
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Format :
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11 p. / tab.;graph.;biblio.
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Langues:
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Anglais
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Catégories :
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ADDICTION
;
INTERNET
;
JEU VIDEO
;
COVID-19
;
ANALYSE
;
PSYCHOLOGIE
;
HOMME
;
DONNEES PROBANTES
;
ETUDE PROSPECTIVE
;
PANDEMIE
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Mots-clés:
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ADDICTION
;
INTERNET
;
VIDEO GAME
;
COVID-19
;
ANALYSIS
;
PSYCHOLOGY
;
MAN
;
EVIDENCE-BASE
;
PROSPECTIVE ANALYSIS
;
PANDEMIC
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Résumé :
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Cette méta-analyse à grande échelle visait à fournir la synthèse la plus complète à ce jour des preuves disponibles de la période pré-COVID sur les facteurs de risque et de protection du trouble du jeu (sur Internet) (tel que défini dans le DSM-5 ou la CIM-11) dans toutes les populations étudiées. Les facteurs de risque/protection comprenaient des caractéristiques démographiques, des facteurs psychologiques, psychopathologiques, sociaux et liés au jeu. Au total, nous avons inclus 1 586 effets provenant de 253 études différentes, résumant les données de 210 557 participants. Outre l'estimation de ces associations prédictives et des effets modérateurs pertinents, nous avons procédé à des ajustements de pointe pour tenir compte du biais de publication, des artefacts psychométriques et d'autres formes de biais découlant du processus de publication. En outre, nous avons procédé à une évaluation approfondie de la qualité des preuves sous-jacentes en examinant les indications de rapports sélectifs, les incohérences statistiques, la puissance typique des plans d'étude utilisés pour détecter les effets théoriquement pertinents, et nous avons effectué diverses analyses de sensibilité. Les preuves disponibles suggèrent l'existence de nombreux facteurs de risque modérément forts et très hétérogènes (par exemple, le sexe masculin, la dépression, l'impulsivité, l'anxiété, le stress, le temps de jeu, la motivation d'évasion ou l'utilisation excessive des réseaux sociaux) mais seulement quelques facteurs de protection empiriquement robustes (l'estime de soi, l'intelligence, la satisfaction de la vie et l'éducation ; tous ayant des tailles d'effet nettement plus faibles). Nous discutons des implications théoriques de nos résultats pour les principaux modèles théoriques du trouble du jeu et pour les stratégies de prévention existantes et futures. L'impact des divers facteurs de biais examinés sur les preuves disponibles semble être modeste, mais nous avons identifié des lacunes dans les pratiques de mesure et de rapport.
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Note de contenu :
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This large-scale meta-analysis aimed to provide the most comprehensive synthesis to date of the available evidence from the pre-COVID period on risk and protective factors for (internet) gaming disorder (as defined in the DSM-5 or ICD-11) across all studied populations. The risk/protective factors included demographic characteristics, psychological, psychopathological, social, and gaming-related factors. In total, we have included 1,586 effects from 253 different studies, summarizing data from 210,557 participants. Apart from estimating these predictive associations and relevant moderating effects, we implemented state-of-the-art adjustments for publication bias, psychometric artifacts, and other forms of bias arising from the publication process. Additionally, we carried out an in-depth assessment of the quality of underlying evidence by examining indications of selective reporting, statistical inconsistencies, the typical power of utilized study designs to detect theoretically relevant effects, and performed various sensitivity analyses. The available evidence suggests the existence of numerous moderately strong and highly heterogeneous risk factors (e.g., male gender, depression, impulsivity, anxiety, stress, gaming time, escape motivation, or excessive use of social networks) but only a few empirically robust protective factors (self-esteem, intelligence, life satisfaction, and education; all having markedly smaller effect sizes). We discuss the theoretical implications of our results for prominent theoretical models of gaming disorder and for the existing and future prevention strategies. The impact of various examined biasing factors on the available evidence seemed to be modest, yet we identified shortcomings in the measurement and reporting practices.
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Public cible :
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Intervenant
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Catalogueur :
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Mélina Debord
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En ligne :
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https://reader.elsevier.com/reader/sd/pii/S0306460322003562?token=1B32101ED7B2081F36D0688D735671668E2C72528A88CEB383D224B56EF9192FC49D24604FED9364BC25307FD855C75D&originRegion=eu-west-1&originCreation=20230209113841
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